L´une des places principales du centre ville, ancien lieu de torture des esclaves...
A Salvador, les plages ne sont pas aussi belles qu´à Rio...
Une des 36 000 églises au style colonial de la ville.
La tour ascenceur qui relie la ville haute et la ville basse, genre de symbole de modernité...
A Salvador, on peut aussi trouver le dernier cri en électronique.
Une nouvelle nuit dans le bus et nous voilà arrivés à Salvador de Bahia, sur la côte Est du Brésil, toujours assez proche de l´équateur pour qu´il fasse plus de 30 degrés en hiver. Connue comme "l´African Soul" du Brésil, c´est la ville la plus noire en terme de couleur de peau mais aussi la plus chaude en terme de culture. Les descendants des esclaves Africains ont préservé leur culture plus que nulle part ailleurs, que ce soit au niveau de la religion, de la danse, de la nourriture, de la musique ou de l´art.
Salvador accueille le deuxième plus gros carnaval après Rio mais le plus chaleureux selon les Brésiliens. C´est aussi la ville de la Capoiera, la célèbre discipline entre la danse et l´art martial, assez à la mode chez les jeunes sympas de nos jours (n´est ce pas Tommy).
On a passé deux jours dans cette très belle ville qui possède un centre très vivant et rempli de petites rues et de places colorées. On en a profité pour goûter la cuisine locale (l´acajaré et la moqueca notamment), voir quelques "combats" de Capoeira Angola (Capoeira traditionelle, il existe aussi la Capoeira Regional, plus rapide et impressionnante), et écouter des groupes traditionels Brésiliens. Le soir, dès que le soleil se couche et que l´obscurité prend place, la ville prend une autre dimension : tout le monde sort et la musique envahit les rues. Cependant, bien qu´on ait assisté à ce phénomène, on est en plein hiver et c´était pas non plus la grosse grosse ambiance. En été, ca doit ètre autre-chose.
Pendant notre petit séjour, on a aussi pu remarquer que cette ville est remplie de prostitués, c´est assez navrant... On a aussi rencontré César, un local qui parlait Français et qui nous a fait découvrir un peu la ville et la gastronomie mais ca serait trop long de vous raconter tout à propos de ce sacré César...
Quelques femmes sont encore habillées avec des tenues de l´époque, surtout pour attirer les touristes dans leur restaurant...
Une nouvelle nuit dans le bus et nous voilà arrivés à Salvador de Bahia, sur la côte Est du Brésil, toujours assez proche de l´équateur pour qu´il fasse plus de 30 degrés en hiver. Connue comme "l´African Soul" du Brésil, c´est la ville la plus noire en terme de couleur de peau mais aussi la plus chaude en terme de culture. Les descendants des esclaves Africains ont préservé leur culture plus que nulle part ailleurs, que ce soit au niveau de la religion, de la danse, de la nourriture, de la musique ou de l´art.
Salvador accueille le deuxième plus gros carnaval après Rio mais le plus chaleureux selon les Brésiliens. C´est aussi la ville de la Capoiera, la célèbre discipline entre la danse et l´art martial, assez à la mode chez les jeunes sympas de nos jours (n´est ce pas Tommy).
On a passé deux jours dans cette très belle ville qui possède un centre très vivant et rempli de petites rues et de places colorées. On en a profité pour goûter la cuisine locale (l´acajaré et la moqueca notamment), voir quelques "combats" de Capoeira Angola (Capoeira traditionelle, il existe aussi la Capoeira Regional, plus rapide et impressionnante), et écouter des groupes traditionels Brésiliens. Le soir, dès que le soleil se couche et que l´obscurité prend place, la ville prend une autre dimension : tout le monde sort et la musique envahit les rues. Cependant, bien qu´on ait assisté à ce phénomène, on est en plein hiver et c´était pas non plus la grosse grosse ambiance. En été, ca doit ètre autre-chose.
Pendant notre petit séjour, on a aussi pu remarquer que cette ville est remplie de prostitués, c´est assez navrant... On a aussi rencontré César, un local qui parlait Français et qui nous a fait découvrir un peu la ville et la gastronomie mais ca serait trop long de vous raconter tout à propos de ce sacré César...